vendredi 18 octobre 2024

Parah-Moses

Cet article est le prolongement de celui qui traite de la stèle des 400. Ce dernier étant relativement dense, il me semblait plus pertinent d’en créer un nouveau, et ce d’autant plus qu’il traite d’un nouvel objet archéologique.

Le moins que l’on puisse dire est que l’actualité est pesante. Si un jour, ce que j’écris en ce moment même devait être lu par des personnes dans un lointain futur, elles auront beaucoup de mal à percevoir la fièvre et l’effervescence qui s’emparent des réseaux. Je serais bien en peine de déterminer ce qui se passe vraiment. Nous serions tenté de penser que les forces invisibles du mal lâchent du lest. Encourageant, certes. Mais il n’est clairement pas le moment de baisser la garde et de relâcher les efforts. Haut les cœurs!

Cet article est basé sur deux statues découvertes en 1913 au pied de la dixième colonne du temple de Karnak. Ce sont deux statues relativement petites en comparaison de celle à coté de laquelle elles sont placées. Elles sont quasi identiques et tiennent compagnie à deux autres qui leur sont similaires: ces 4 statues sont celles de vizirs. De leur emplacement actuel, les archéologues en ont déduits leur datation, à savoir la fin de la 18 ème dynastie. Pourtant ces deux vizirs sont séparés par plus d’un siècle. On peut donc supposer qu’elles ont été placées là et regroupées  (par thème) bien après. Le plus ancien n’est autre que _menophis fils de Hapou. Ce vizir a fait couler beaucoup d’encre. Certains ont suggéré qu’il s’agissait du prophète Joseph, paix sur lui. L’hypothèse est intéressante, mais la datation couramment admise pour ce vizir ne correspond avec celle du prophète d’une part, et le scénario envisagé de sa gloire par l’archéologue, ne rentre pas, selon moi, dans la grille de lecture de la Révélation. En réalité, l’hypothèse ne vient pas de nul part et trahit une certaine proximité entre le pouvoir royal égyptien et la famille des Patriarches, paix sur eux. Il est tout à fait possible que ce vizir fasse parti de la lignée prophétique ou bien qu’il ait étudié de près la foi monothéiste. Ma théorie est que la venue de Joseph, paix sur lui, en Égypte, a effectivement provoqué des turbulences. Parmi ces turbulences, nous pouvons clairement identifier la réforme religieuse durant la 18ème dynastie. La date indiquerait l’influence notable du vizir en question. Certains qualifient abusivement cette réforme de monothéiste, alors qu’il s’agit en réalité d’une simple réforme monolâtre. Celui qui en a été l’instigateur s’est effectivement inspiré du culte rendu au Dieu unique, mais l’a appliqué à la divinité solaire de l’ennéade égyptienne selon des mécanismes de porosité entre pouvoir temporel et croyances. Une fois le culte rendu aux anciens dieux par son successeur, et semble-t-il fils, le pays sombra dans l’instabilité. Celui-ci n’est autre que le pharaon qui a été rendu célèbre non par la grandeur de son règne mais par la découverte moderne de sa tombe quasiment intacte. Il était handicapé et il y a fort à parier que des personnages importants à la cour y ont vu là le signe d’une fin de dynastie. Ils auraient donc conspiré contre le roi. Il décède relativement jeune. Ses deux successeurs ne sont donc pas d’ascendance royale. En réalité, la 18 ème dynastie prend fin à sa mort. Nous comprenons mieux à présent, pourquoi celui qui est considéré comme le dernier pharaon de la 18 ème a légué le pouvoir de son vivant à un homme étranger à sa famille. C’est ainsi que s’impose sur la scène le premier _amesside. Lorsque l’on s’informe sur ce roi, ses origines sont obscures et il est dit qu’il serait le fils d’un certain (s)éthy. Il aurait été vizir sous le nom de Paramessou et ce n’est qu’au moment de son accession au trône que le Pa serait tombé et qu’il serait devenu _amsès 1er. Cet exposé officiel, après recherche, est basé sur la découverte de ces deux statues. La première constatation est que, si l’on s’en réfère à la stèle des 400, où il est également question d’un (s)ethy et d’un Paramessou, est que l’ordre familial est inversé. https://www.stephanpain.com/2024/02/27/stele-des-400/ 
En effet, comme nous l’avons vu dans l’article, la stèle est claire: (s)ethy est le fils de Paramessou. On nous explique alors que Paramessou, une fois roi, aurait eu un fils qu’il aurait nommé comme son père. Ce fils serait ensuite devenu le pharaon que l’on connait, et qui aurait engendré le pharaon le plus connu de la dynastie, à savoir _amsès II. On nous explique que l’érection de la stèle des 400, que l’on peut dater assez précisément, relate les exploits passés du grand-père du commanditaire. On peut alors légitimement se demander pourquoi utiliser le nom avant couronnement d’un pharaon décédé si il s’agit d’honorer sa mémoire pour l’éternité. Dans  la chronologie fournie dans l’article, la stèle est datée de -1244. Ce qui correspond au milieu de  la 4ème décennie de règne. La stèle évoque la célébration passée des 30 ans de règne dans sa première ligne d’une part, et l’archéologie indique que la titulature du pharaon employée dans les 4 premières lignes est attestée postérieurement à l’an 34 du règne. Il faut dire que le pharaon, dans sa mégalomanie, a envahi les monuments de ses prédécesseurs avec ses titulatures. En bas de page, vous pouvez vous référer à différents auteurs sur le sujet. Je vais démontrer que leurs hypothèses sont fausses. Tout d’abord, la question de la syllabe Pa. Il est clair qu’il n’existe aucune divinité sous le nom Para. La syllabe suivante, Ra, ne fait pas non plus référence à la divinité solaire car son symbole aurait été placé en tête de nom. Dans la stèle des 400, la deuxième mention du nom Para fait apparaitre le disque solaire en dessous du canard, ce qui est encore plus improbable pour un nom de divinité.  Généralement Pa est un démonstratif et il est peu probable qu’il soit utilisé devant un nom propre. Les règles établies par l’égyptologie classique indiquent donc que la traduction « Celui qui est né de _a » est abusive. Le problème est bien plus profond que cela. En se penchant sur les noms de pharaons, nous tombons sur un certain _outmosis, « celui qui est né de _out ». On peut légitimement se demander pourquoi dans le cas de ce dernier pharaon, la partie MSS est prononcée mosis tandis que pour les pharaons de la 19ème dynastie, on prononce cette même partie msès. Ils auraient très bien pu être nommés _amosis. Sachant qu’en anglais, le nom du prophète est Moses, paix sur lui, il aurait été plus facile de faire le rapprochement. Ce choix trahit donc une certaine volonté de dissimulation. D’ailleurs, à ce propos, on pourrait se demander comment se fait-il que tout ce que j’expose dans mes articles n’ait pas été dévoilé plus tôt. C’est tout simplement parce que l’égyptologie est une chasse gardée. L’accès à la compréhension des hiéroglyphes n’a été rendu possible que par internet. Le docteur Bucaille, par exemple, si il a travaillé sur les connexions entre l’archéologie,  la Bible et le Coran, n’a pas utilisé le potentiel des textes dans la pierre.

Dans l’article « de sang et d’eau », j’exposais l’idée que Para était en réalité le mot vache en hébreu: Parah. Cette idée m’est venu lorsque j’ai découvert le ventre de la vache en Égypte. Après avoir muri le sujet pendant ces quelques mois, j’ai compris qu’il ne fallait pas forcément focaliser sur un endroit géographique. En effet, le ventre de la vache est le nom d’un quartier du Caire, mais aussi celui de la zone agricole située au sud ouest du delta et qui  nourrit sa population depuis des siècles. Si le terme semble d’origine païenne donc antérieur à l’Islam, il faut, à mon avis, d’avantage focaliser sur son sens global. Si différents endroits ont pu être nommés ainsi c’est tout simplement parce que le ventre de la vache désigne tout endroit qui apporte la vie. La zone d’agriculture est fertile car des canaux ont été creusés depuis le Nil pour l’irriguer. Vraisemblablement, ces canaux datent de presque 4000 ans. D’ailleurs, selon certains traducteurs, l’inscription sur la statue indique que le vizir était en charge de la maintenance de ces canaux. Il y a un autre élément qui m’est revenu. Le rêve qui va être à l’origine du retour en grâce de Joseph, paix sur lui, est centré sur des vaches et sur l’abondance de nourriture. Pour célébrer sa mémoire, la femme qui trouve le berceau va donc faire référence à la vache et à la vie.

Ceci étant dit, nous allons nous pencher sur les inscriptions des statues. Selon l’un des auteurs, en dehors de celles-ci et de la stèle des 400, il n’est nul part fait mention de vizirs portant les noms de Paramessou et (s)ethy. Voici le texte principal rapporté:

« chef des archers, intendant des chevaux, chef du sceau, charrier de Sa Majesté, messager royal vers tous les pays étranger, scribe royal, commandant de l’armée du Seigneur du Double Pays, chef des prêtres de tous les dieux, lieutenant de Sa Majesté en Haute et Basse Égypte, commandant les bouches du Nil, noble, maire de la ville, vizir, Paramessou« .

Comme l’indiquent les différents auteurs, ce texte ressemble fortement à celui que l’on peut lire sur la stèle des 400.

Sur le socle nous avons une dédicace:

«Au double du prince héréditaire pour la terre dans foule son étendue, le nomarque comte, Paramessou, juste de voix, fait par le maître chef archer, (s)éti, juste de voix.»

Une autre traduction de la dédicace est:

« prince dans le pays entier, maire de la ville, vizir, Paramessou, qu’a engendré le chef des archers (s)ethy ».

C’est tout simplement cette deuxième version qui s’est imposée comme la traduction officielle. De là, et uniquement de là, on en a déduit l’existence de cet ancêtre d’où serait issue toute la 19ème dynastie et le changement de nom du vizir lors de son accession au pouvoir. La stèle des 400 est tout simplement mise de coté, en appuyant sur le mystère entourant la célébration des 400 ans.

Vous me connaissez, je suis taquin. Je me suis donc mis en devoir de chercher l’inscription. Si je n’ai pas trouvé de reproduction en photo, j’ai tout de même trouvé une transcription en hiéroglyphe. Voici la ligne qui nous préoccupe:

Comme nous pouvons le voir, il y a bien le canard volant, Pa suivi de Ra, puis moses. Les trois symbole suivants signifient, selon ce que j’ai compris, « celui qui est noble » (la noblesse d’un personnage est symbolisé par un homme assis tenant un fouet, il ne s’agit pas nécessairement d’un roi). Ensuite, nous avons la mention « juste de voix » que l’on retrouve partout dans la pierre. A la fin de la ligne, nous reconnaissons (s)ethy, juste de voix. Entre les deux nous avons donc un oeil, D4. Dans le document de la B.N.F. en lien ci-dessous, l’auteur se désole que le symbole utilisé ne soit pas le canard (au sol). En effet, le canard (Sa comme dans Samiri) désigne sans ambiguïté le lien de filiation. Il déduit donc du contexte global, car l’inscription ne contient que très peu de contexte, que Paramessou est fils de (s)ethy car il ne peut en être autrementL’oeil, D4, indique un verbe d’action: vb- créer, faire, agir, etc. La traduction fournie en premier est donc correcte. Cela signifie tout simplement que le personnage cité ensuite, c’est à dire (s)éthy, est celui qui a érigé ou plus vraisemblablement fait ériger la statue. L’autre inscription, quant à elle, indique que l’autorité royale a autorisé cette érection. Il n’est pas fait mention de l’identité de cette autorité. Il pourrait tout autant s’agir de la couronne contemporaine à la stèle des 400 et non celle qui est représentée en statue immense à coté de l’endroit où a été déposée la statue du vizir. Il s’agirait donc bien du même personnage qui est représenté à la droite de la stèle des 400, c’est à dire (s)ethy, le fils de Paramessou. Ce dernier n’est autre que Moïse, paix sur lui. Si nous nous penchons alors sur la chronologie proposée, nous comprenons que la stèle des 400, érigée en l’an -1244, l’a été surement après la disparition du prophète, paix sur lui, dans le désert. Nous comprenons alors qu’il a été considéré mort et que le pharaon a décidé d’honorer son fils ainé en le nommant vizir à sa place. Oui, car, selon la Bible, et cela est confirmé par la coïncidence des dates archéologiques, Moïse, paix sur lui, a disparu alors qu’il avait 40 ans. Il est tout à fait normal qu’à cet age il ait eu plusieurs enfants d’age mur prêts à lui succéder à la cour. Dans la Bible et le Coran, il est rapporté qu’il est mis en garde par un hébreu. Nous pourrions penser que l’avertisseur serait un partisan de l’hébreu qui a provoqué la bagarre avec l’égyptien et qu’il a menti au prophète pour le faire paniquer et le faire s’enfuir. En condamnant à l’exil, ainsi qu’à l’abandon pur et simple de sa famille et de ses amis, un adversaire qu’il savait ne pas pouvoir battre loyalement, il trouvait là une opportunité de lui nuire. C’est là pour moi  un des enseignements piliers  de la Révélation sur le péché majeur qui consiste à confondre la solidarité clanique avec des injustes avec la solidarité de foi et qui est la base de tous les conflits interreligieux.

En conclusion, les deux statues quasi identiques du vizir dit (selon l’archéologie officielle) « Paramessou » ou « Paramsès », devenu « (Pa) _amsès », visibles au temple de Karnak, sont des représentations du prophète Moïse, paix sur lui, de son nom égyptien complet Paramoses (le son h de Parah est tombé), devenu Moseh (le son h  est tombé et le s est sh en hébreu moderne) en hébreu biblique (משה), devenu Moussa en arabe coranique (موسى). On pourrait orthographier ce nom dans l’absolu pour des raisons théologiques Parah-Moses et pour des raisons actuelles de taquinerie extrême mais non sans un certain sens, et c’est peut-être ce que l’histoire retiendra, de P Moses ou P Moïse (il ne faut pas y voir là une incitation à donner un autre sens à ce P, ce n’est pas du tout le genre de la Maison). Elles ont été érigées par son fils (s)ethy, qu’il a eu alors qu’il faisait parti de la cour royale, sous l’autorité du pharaon _amsès II, quelques années après l’érection de la stèle des 400 où il est représenté en tant que vizir héritier. Ni l’histoire, ni les Écritures ne disent ce qu’il est devenu par la suite. Nous pouvons supposer qu’il a pu périr noyé sous les yeux de son père lorsque les murs de la mer sont retombés.

Paix sur vous.

Mise à jour du 9 octobre:

Après avoir passé une partie de la journée aux inévitables multiples corrections, je me replongeais dans l’ambiance des réseaux. Tandis que j’écoutais d’une oreille distraite une émission d’un média alternatif, un souvenir me revint en tête: le mot Para était apparu ailleurs sans que cela ait donné quelque chose de significatif. Mais oui! Je faisais apparaitre l’article et descendais jusqu’à son image centrale:

 

La légende était: « Sur la croix, un para, du latin: parer/contrer » car un para apparait au beau milieu de l’image.
De l’article: https://www.stephanpain.com/2023/01/24/rage-au-coeur/
En comparaison de la puissance de la connexion entre cette cet état psychologique de détresse, cette double croix imbriquée qui symbolise la corruption de l’âme dès l’enfance par le traumatisme dissociatif  et le nom de Jean Paulin qui dévoile le nom du martyr condamné par la loge P1 pour son refus de ces pratiques de transmission, la présence de « para » au milieu de l’image me semblait bien fade. Je restais sur ma fin en écrivant cette légende.
Aujourd’hui tout cela prend une toute autre dimension. Nous comprenons  que le monde n’a pas tant changé que cela depuis 3000 ans. Les élites perverties restent les élites perverties. La musique de masse n’est qu’une sorcellerie comme une autre, une sorcellerie plus aboutie, plus actuelle. Une fois que Parah-Moses/Moîse, paix sur lui, avait disparu de la scène, le pharaon a offert la fonction de vizir à son fils. Il est clair que d’une part que (s)éthy ne serait qu’un surnom qu’il lui a attribué pour marquer son emprise sur lui, l’asservir à une fausse divinité et symboliser son appartenance à une élite déconnectée et d’autre part que cette stèle est une sorte de cadeau de reconnaissance pour s’être livré corps et âme à ces sorciers. Il devait surement être très jeune et ébloui par cette gloire et cette puissance. Nous étions déjà alors dans le P game. Où tous ceux qui participent rêvent d’être les pères à la place du père en place.

Face à cela, la vache qui donne la vie, la Parah, liée à la Révélation. Tous ceux qui oeuvrent pour le bien sont les enfants de la Parah. Nous sommes tous des Parah-Moses.

 

Chronologie proposée

  • Prise de pouvoir de l’Égypte par les Hyksos (estimée entre -1650 et -1620)
  • Arrivée de Joseph, psl, comme esclave
  • Séjour en prison
  • Prise de fonction en tant que vizir (an 0 : -1644)
  • Entrée des hébreux en Égypte (an 10: -1634)
  • Aux hébreux et aux Hyksos considérés positivement est associé la divinité _eth
  • Mise en esclavage des hébreux (an 40)
  • Reprise du pouvoir par une lignée de sang égyptien
  • fin de la période intermédiaire (an 84 : vers -1550)
  • « Expulsion » des Hyksos
  • le célèbre vizir en statue à coté de Paramessou vers -1435 -1356
  • réforme religieuse monolâtre vers -1350
  • mort précoce de Toutânkh__ -1327, fin réelle de la dynastie, période d’instabilité
  • Le dernier pharaon officiel de la 18ème dynastie choisit son vizir et ami comme successeur
  • Arrivée au pouvoir de la 19ème dynastie
  • La nouvelle dynastie est liée à la divinité_eth dans ses origines
  • Mort du premier roi de la lignée après un très court règne
  • Le second prend le nom de (S)ethy
  • Campagne militaire victorieuse sur Canaan (Amoréens) annexé
  • Moïse,psl, est sauvé des eaux par Tia, la fille du pharaon, et élevé à la cour
  • Troisième pharaon de la dynastie (an 364 : -1280)
  • Célébration des 30 ans de règne (an 394 : -1250)
  • Fuite de Moïse, psl (an 400 : -1244)
  • Érection de la stèle (an 400 : -1244)
  • Mort du pharaon de vieillesse après 66 ans de règne, son fils monte sur le trône (-1214)
  • Érection de la stèle de la victoire (militaire) (vers -1209)
  • Retour du prophète, Exode, noyade des deux fils (an 440 vers -1204)
  • La stèle est martelée une première fois pour effacer le fils de Moïse, psl
  • Querelle de succession (deux pharaons « cohabitent » sur hte & bs Egy)
  • Conte des deux frères: un pouvoir bicéphale régente Égypte et Canaan
  • Canaan autrefois annexé est sous le contrôle des hébreux depuis Qyriat Arba (-1164)
  • L’instabilité de la dynastie perdure (grève des ouvriers)
  • Chute de la dynastie (s)éthienne
  • Disgrâce de la divinité, la stèle est de nouveau martelée

Sources

Moïse
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mo%C3%AFse
Moses
https://en.wikipedia.org/wiki/Moses

Stèle d’Haman, le vizir
https://www.stephanpain.com/2023/05/15/phoque-abstraction/
Stèle de l’an 400
https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A8le_de_l%27an_400
https://www.stephanpain.com/2024/02/27/stele-des-400/
Stèle de la victoire
première mention archéologique d’Israël en tant que peuple et non en tant que territoire
https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A8le_de_M%C3%A9renptah

Conte des deux frères
https://www.stephanpain.com/2023/03/20/conte-des-deux-freres/
La sœur traitre dans la Bible
https://www.stephanpain.com/2023/03/10/faites-entrer-laccusee/
Troubles régionaux post-Exode
https://www.stephanpain.com/2024/04/17/tawaf/

Oeil, D4
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C5%92il_(hi%C3%A9roglyphe_%C3%A9gyptien_D4)

Liste totale des hiéroglyphes selon la classification Gardiner
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_totale_des_hi%C3%A9roglyphes_selon_la_classification_Gardiner

Jonc M23, associé au moineau: sw
pr.dep- le, lui, il, se
pr- il, elle
part.procl- alors
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jonc_swt_(hi%C3%A9roglyphe_%C3%A9gyptien_M23)

Canard G40, le son Pa
https://fr.wikipedia.org/wiki/Canard_en_vol_ailes_d%C3%A9ploy%C3%A9es_(hi%C3%A9roglyphe_%C3%A9gyptien_G40)

Conspirations dans l’Égypte antique (article relatant surtout les 18 et 19 ème)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Conspirations_dans_l%27%C3%89gypte_antique

Tia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tia_(princesse)

Annales du Service des antiquités de l’Égypte
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5725841g/f43.item.zoom
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5725841g/texteBrut

Claude Obsomer (2012)
https://www.editions-pygmalion.fr/ramses-ii/9782756405889

https://www.osirisnet.net/tombes/pharaons/ramses1/ramses1_01.htm

Religion et politique au cœur de l’ancienne Égypte : le temple d’Héliopolis
https://journals.openedition.org/asr/1834