Photo originale déposée en privée le 14 juin 2022. Article rédigé le 24 janvier 2023
Début juin 2022. Vers le 6 ou 7. Vous savez, dans la rue, on trouve toutes sortes de choses dont les gens se débarrassent. Souvent des cartons remplis de livres. Il peut être hasardeux de chercher un signe à chaque fois ou de chercher une signification à telle ou telle couverture. Cependant, ce jour là, ce titre et ce dessin détonnaient fortement avec les nombreux livres pour enfants beaucoup plus récents qui l’entouraient. L’ouvrage, dans son jus, est une édition originale. De plus, il y a une dédicace de la main de l’auteur. Elle s’adresse à son oncle pour le remercier d’avoir été à l’origine de sa carrière militaire. Il ne s’agit donc pas d’un exemplaire acheté mais bien d’un cadeau de la part de l’auteur, Jean Paulin (ce nom prendra une toute autre dimension quand vous parviendrez à la fin de cet article). Et il y a tout lieu de croire que ce fut là le premier exemplaire offert. Pour l’ancien propriétaire, surement décédé depuis pas mal de temps, cet objet devait avoir une grande valeur sentimentale. Ainsi que pour l’auteur, bien entendu. Si bien, que de le trouver abandonné dans la rue, me semblait terriblement triste. D’un autre coté, je comprenais aussi que cette trouvaille n’était pas le fruit du hasard et que si cet objet aussi précieux qu’il fut aux yeux de ceux qui se le sont échangé, se devait de prendre un nouvel envol. Et me voilà investi de cette responsabilité.
C’est l’histoire d’un homme parmi tant d’autres qui donnèrent leurs vies sans négocier. Des héros, souvent anonymes. De ceux qui n’ont pas écrit leur noms dans l’histoire, mais qui ont fait l’histoire. Au milieu de ce conflit majeur, initié par l’opposition entre des forces occultes païennes dont certaines s’affichaient au grand jour (ce qui n’en faisait pas forcément les plus dangereuses dans l’absolu), ennemies du Créateur, il était de véritables croyants. Dont la foi sans faille leur a permis de dépasser leurs peurs. Leurs peurs de se voir tomber sous des balles du camp adverse, bien sur, mais aussi de se battre sous la supervision d’entités ennemies. Bien évidemment, ce dernier élément n’est pas mentionné dans le livre, mais il est tellement inévitable de considérer cette perspective, que je me dois de la mettre en avant. La France, et les pays occidentaux de manière générale, ne sont pas sous la supervision de partisans du monothéisme. Mais nous reviendrons sur ce sujet plus loin dans cet article.
L’homme donc, parvient à s’enfuir en zone libre et se rend en Espagne. Il y est fait prisonnier. A peine libéré, il rejoint Gibraltar et s’envole vers Londres. Il y suit un entrainement parachutiste intensif de plusieurs mois en vue du D-day. Il mentionne De Gaulle, de la foi qu’ils partagent. Il émet des avis sur la géo-politique avec le point de vue d’un homme de l’époque, sans aucun recul. Le moment le plus important du livre est le largage. Ensuite, il nous raconte les rudes combats qui suivirent. De lourdes pertes. Puis le livre s’achève sans fioriture, l’homme n’ayant pas d’avantage de fait d’armes à rapporter.
La rage au cœur
Ce titre me parle au plus profond, tant il décrit ce qui m’habite depuis toutes ces années. Sous une apparence calme, un volcan sommeille. Quand il s’éveille, cela n’est pas forcément que pour des choses positives, hélas. Ce ne sont pas des choses que l’on décide. C’est ainsi et il faut vivre avec. Au début, on ne réalise même pas cette rage. Ensuite, on prend conscience, et on se sent démuni à la combattre. Enfin, on trouve les clefs en soi pour progresser. Petit à petit. Pas à pas. L’essentiel est d’intégrer qu’il ne faut jamais crier victoire trop tôt. Pas d’ordre de mobilisation. Pas de missions. Pas d’armistices. C’est une guerre mondiale à l’échelle d’une durée de vie d’homme.
La sérénité en ce bas-monde? N’y comptez pas! Ceux qui vous la promettent ne sont que des menteurs. Des techniques, des exemples, des partages. On fait avec nos moyens. Et ce grand sage, celui qui est assis dans la chaise, tout en haut. L’autorité. Lui, il sait très bien quelles sont ses failles. Et même si il est passé maître dans l’art de les dissimuler à la face du monde, le Patron, le seul, l’unique, saura le remettre à sa place de simple serviteur. Oh, je ne vise personne en particulier, et vous allez vite le comprendre.
Les partis
Je pourrais vous renvoyer à la lecture de différents articles. Je vais plutôt faire une synthèse. Au travers de mes écrits, il est une chose essentielle à comprendre, je suis persuadé que la nature humaine ne varie pas. Seule l’apparence, le décor évolue. Dans ce décor, se cache l’idolâtrie. Quelques soient les lieux et les époques, la nature monothéiste demeure, tandis que le paganisme se renouvelle constamment. Toutefois, la compréhension de l’Unicité s’améliore. Mais il en va de même des ruses du malin. Elles deviennent de plus en plus complexes.
Fort de ces constatations, et face à des problématiques apparaissant insurmontables, celui qui réfléchit se tourne alors vers le passé pour y puiser des solutions. Cependant, la partie n’est pas gagnée pour autant. En effet, deux voies de l’égarement s’offre alors. L’une consiste à faire table rase du passé. Une sorte de déification du progrès constant. L’ennemi absolu devient le conservateur. Par un jeu de « réflexion », il s’agit d’établir systématiquement un lien entre celui-ci et la référence du mal absolu qui serait incarné par le régime politique allemand au pouvoir pendant le conflit. Tandis que l’autre consiste à plaquer les attitudes et les paroles provenant d’un lointain passé sur le présent sans plus de discernement. Nous n’avons pas de meilleur exemple que le littéralisme islamique en la matière. Et nous avons eu tout le loisir durant ces dernières années de constater l’ampleur du phénomène par ses manifestations violentes.
Il y a profusion de textes bibliques. Seul un cœur apaisé peut s’emparer de ceux-ci pour les faire résonner dans notre époque. Pas un cœur enragé. Peut-on prétendre en la matière? Peut-on mentir? Peut-on se faire passer pour ce que l’on est pas? Cela me parait bien impossible. Tout du moins auprès d’un autre cœur apaisé. Il ne peut pas se laisser duper.
Que faire? Partir combattre? Adhérer à un parti politique, un groupe religieux, une secte? La solution est en chacun de nous. Mais cela, vous le saviez déjà. La théorie. La pratique. Deux choses bien différentes.
Les temps messianiques. Pas de quoi crier victoire. Plutôt que de se glorifier que toutes les générations précédents auraient aimé vivre ces temps, réaliser qu’en réalité personne ne serait assez insensé pour souhaiter les vivre. Ceci étant dit, établissons des liens entre les deux époques messianiques. Ce faisant, nous réalisons alors qui est Dhul-Qarnain. Il ne s’agit pas d’un bicornu mais bien de « Celui des deux époques ». De là, à décortiquer tous les versets de la sourate al Kahf afin d’en livrer une interprétation, il y a un pas que je ne saurais, pour l’instant, franchir. Cette méthodologie avait été appliquée dans le livre et la conférence d’Abu Suleyman al Kaabi. Il n’était cependant pas arrivé au bout car ses postulats de départ étaient erronés. En effet, si il établissait un lien judicieux entre le mouvement Pharisien et le mouvement Salafi, et leurs dérives respectives que sont les Zélotes et les Djihadistes, il échouait à désigner correctement la caste des Sadducéens et les Esséniens. Tout en gardant en tête que les mouvements Pharisiens et Salafis sont par définition des mouvements complexes traversés par des courants parfois antagonistes. Grossièrement durant la période du premier siècle, nous avions les écoles de Hillel et Shammai qui vont s’opposer dans leur rapport à la miséricorde. C’est d’ailleurs principalement sur cet axe que les reproches de l’Évangile vont se porter. A notre époque les écoles sont bien plus nombreuses et l’on pourra considérer le mouvement Tabligh comme un salafisme alternatif. Je ne suis pas assez pointu pour nommer les différents courants. L’axe de miséricorde me semble encore tout à fait pertinent dans la problématique messianique. Pour en revenir à la raison, fort simple, pour laquelle l’auteur n’est pas parvenu à concrétiser: son analogie se cantonnait au cercle de la Ummah. Ainsi, selon lui, les Sadducéens pouvaient être rapprochés de la catégorie des réformistes. Il reconnaissait lui-même que celle-ci était vaste et que l’analogie était moins pertinente que pour les Pharisiens. Bien sur, au niveau individuel nous pouvons trouver des mécanismes similaires mais rien de suffisamment radical pour soutenir l’analogie. Nous allons voir par la suite une possibilité beaucoup plus pertinente. Quant aux Esséniens, il tentait un rapprochement avec des mouvements modernes d’autonomisation de communautés restreintes de musulmans en donnant des exemples concrets. Dans la mesure où les Esséniens n’ont pas un grand rôle à jouer dans les Évangiles, malgré certaines théories qui voudraient faire du Messie l’un des leurs dans une tentative de spiritualiser plus que de raison les écritures, l’erreur est de moindre importance dans le cadre de celle développée par l’auteur.
Techouva
Tachons à présent de proposer une nouvelle version de cette théorie. C’est aussi un moyen de recoller avec l’actualité. En effet, depuis deux semaines, le mot qui revient sur toutes les bouches est « Pardon ». Certains emploient le mot « Techouva ». Inutile d’expliquer ce dont il s’agit. Soyons taquins. Chacun y va de son explication et de sa prise de position. Le moins que l’on puisse dire c’est que cela ne laisse aucun acteur du « jeu » indifférent. Quant à moi, je n’ai aucun parti à prendre. Les motivations de l’artiste, les tractations en coulisse, tout cela m’importe peu. Il s’agit ici de prendre de la hauteur et également de se projeter dans le futur grâce aux outils à disposition. Bien entendu, l’analyse livrée se situe dans le cadre de mon propos global sur le personnage et son rôle. Si nous replongeons dans le récit de la première venue, Jean était le fils aîné d’un grand prêtre. Il aurait donc du endosser la fonction à son tour. Au lieu de cela, il a préféré tourner le dos aux institutions et partir dans le désert. Le baptême d’eau n’était pas une pratique nouvelle. Ce qui faisait la force de son ministère était qu’il la pratiquait en tant qu’héritier légitime d’une haute fonction sacerdotale et se réclamait intégralement de la tradition prophétique. Ce n’était donc pas un simple marginal qui innovait en matière de religion. Tout le contraire. Jean était un traître à sa caste. A première vue, nous pourrions être tenté de penser que les pires ennemis de Jean était bel et bien les Sadducéens. Mais il y a une légère subtilité ici. Si il est vrai que ceux-ci s’opposèrent, ce n’est toutefois pas eux qui s’emparèrent du prophète et l’exécutèrent par décapitation. L’Évangile est clair sur ce point. Même si l’on peut se questionner sur l’exactitude des faits, il n’en demeure pas moins que c’est l’un des fils du roi qui a fait bâtir le temple de Jérusalem qui est en cause. Il ne s’agit donc pas d’un membre de la classe sacerdotale. Ce n’est même pas du tout un personnage à connotation religieuse. Un politique. Un politique corrompu par le pouvoir et soumis à Rome. Il n’y a plus de roi en Juda ou Israël de nos jours, mais si nous voulons faire une analogie avec le temps présent, il serait assez judicieux de tourner nos regards vers la petite classe politico-médiatique qui s’imagine faire la pluie et le beau temps au sein de l’empire. Car en effet, ces gens ne se présentent absolument pas comme des autorités religieuses mais comme des représentants légitimes d’une communauté. Journalistes, éditorialistes, chefs d’associations communautaires et propitiatoire sur l’Arche: philosophes.
Cela fait bien des années que j’ai envie de placer cette phrase dans un de mes articles:
Tous ces gens qui ont fait de la lutte contre l’antisémitisme leur fond de commerce, n’auraient jamais participé à la fabrication du veau d’or, n’auraient jamais trahi Moise, paix sur lui: car ils ne seraient jamais sorti d’Egypte avec Allah et son prophète.
Leur passion pour l’empire, la gloire qu’il leur apporte, l’argent, le pouvoir, tout cela les aveugle face à l’adoration du Créateur. Ce prétendu attachement à Israël n’est qu’une posture victimaire. Au fond ils haïssent la foi, haïssent les prophètes, haïssent les écritures.
Jean a révélé leur hypocrisie au grand jour. C’est tout une caste asservie à l’empire qui a demandé sa tête. L’histoire ne fait que se répéter. Le pardon est demandé de la part d’un homme seul face à une communauté. Qui sont ces gens qui s’autoproclament comme porte-parole de toute une communauté? C’est à chacun de décider de faire l’effort ou non. En tout cas, la notion de pardon n’est pas facultative pour un croyant. « Ni oubli, ni pardon »: voilà bien une doctrine du malin. Que l’on ait du mal à pardonner est une chose, c’est humain. Mais proclamer le refus de pardon comme credo est une hérésie.
Mais que certains ne crient pas victoire. Car si l’hypocrisie des uns est révélée, l’hypocrisie des autres aussi. Ceux qui ont fait de l’anti leur fond de commerce, une fin en soi, se sentent trahis. Trahis? Celui qui demande pardon ne vous a jamais rien promis. Investis dans une cause noble, il n’est nul besoin d’un guide défini. Un jour l’un, un jour l’autre. Et nul besoin de tirer la couverture à soi en prétendant à la fois incarner la dernière résistance encore debout et à la fois définir la volonté divine. Crise d’orgueil comme à l’accoutumée.
Ainsi, nous avons ajouté un groupe dans notre analogie: la caste politique asservie à l’empire romain. Elle n’a même pas de nom. Au fond, tout cela est plutôt logique. Nous traitons ici pour notre époque, des héritiers de Juda, donc de la classe royale d’Israël. La classe sacerdotale était du coté des Samaritains. Le Palais et le Temple. Jean a mis à bas le Palais.
Pour poursuivre l’analogie d’époque, rappelons-nous le ministère d’Elie, paix sur lui. Son plus grand miracle fut son combat contre les prêtres de Baal. A son époque donc, du fait que l’empire n’avait pas encore d’emprise politique sur les fils d’Israël, l’idolâtrie dominant une partie du peuple prenait une forme beaucoup plus matérielle et visible.
Contexte
Les musulmans affectionnent de coller ce verset à la face des chrétiens pour leur prouver leur égarement:
4.157 et à cause de leur parole: « Nous avons vraiment tué le Christ, ‘Isa (Jésus), fils de Maryam (Marie), le Messager d’Allah. » Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié; mais c’est ce qui leur est apparu. Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l’incertitude: ils n’en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l’ont certainement pas tué,
Décontextualisé, ce verset montrerait que le Créateur nie la crucifixion. Mais il suffit de remonter juste au dessus pour comprendre. « Leur » fait référence aux gens du Livre, c’est à dire aux juifs, puisque l’action se situe à Jérusalem. Il ne s’agit pas ici d’englober tout le peuple, mais uniquement la partie malade, celle qui a fait le veau d’or comme il est donné comme exemple. Quoi que les gens du Livre puissent dire, il est une chose certaine: ce sont les romains qui ont crucifié le Messie. Le supplice était d’ailleurs typiquement romain et inconcevable dans la justice des gens du Livre. Mais si ils ne l’ont pas crucifié, certains peuvent affirmer l’avoir fait car telle était la volonté expresse du Sanhédrin. Si il est de bon ton d’affirmer que les juifs modernes sont leurs strictes héritiers en gommant toutes les disparités de courants, pour d’autres de pointer du doigt l’Islam également dans son entier afin de désigner l’ennemi du Messie (antéchrist), tout ce petit monde semble passer à coté d’une chose essentielle:
Mat 16.6 Jésus leur dit:
Gardez-vous avec soin du levain des pharisiens
ET des sadducéens.
Les Évangiles sont très durs à l’égard d’une partie des Pharisiens, particulièrement les membres de la maison de Shammaï, du fait de leur littéralisme et de leur rigidité. L’opposition entre la lettre de la Loi et le coeur de la Loi. Mais les pires ennemis du Messie, ce sont bel et bien les Sadducéens. Les rabbins et leurs partisans ont parfois été hostiles, ont mal réagi, mais ils n’ont pas mis à mort le Messie. Ils auraient pu le faire maintes fois par lapidation, par effet de groupe. Mais jamais ils n’auraient pu conspirer et obtenir des romains qu’ils fassent la besogne à leur place. Il avaient cet honneur.
Le commanditaire de la crucifixion est la classe sacerdotale. D’apparence indépendante de l’empire, mais soumise à lui.
Pourquoi personne ne cherche les Sadducéens modernes? D’un coté les musulmans qui occultent cette analogie en simplifiant excessivement les problématiques messianiques. De l’autre…
…les coupables.
Une caste sacerdotale coupée du peuple, s’érigeant comme unique autorité religieuse et se donnant l’apparence d’une totale indépendance de l’empire.
Faut-il nommer cette caste?
Si je ne devais donner qu’un exemple de soumission à l’empire, il suffirait de citer les consignes zélés données afin de suivre les recommandations sanitaires le tout justifié par les écritures. Tout est dit.
S’il devait y avoir une réelle menace envers le Messie pour sa seconde Venue, elle émanerait de cette entité. Pas de barbus, ni de ligue de défense ou autre violents. Non, ces gens gardent les mains propres. Ils protègent les dogmes. Par tous les moyens nécessaires.
Maintenant, cramponnez-vous. Nous rentrons dans le vif du sujet.
Ce livre trouvé dans la rue venait apporter une réponse.
Les forces françaises de libération, inspirées par la foi, adoptèrent une croix un peu particulières. De nos jours, on l’appelle croix de Lorraine. Il y en a une immense en haut du mont et une autre pas loin de chez moi.
Elle possède une double barre horizontale: l’une grande, l’autre petite.
Il y a de cela quelques années, en voyage en Bretagne sur les traces de mes origines familiales, une image apparaissait sur le mur au dessus du lit mis à ma disposition par mon hôte. Me laissant pantois et envahi de questions.
Voilà donc l’origine de cette rage au coeur.
Souvenez-vous, le pizzagate, le symbolisme utilisé pour décrire l’association d’un adulte et d’un enfant: deux symboles identiques de tailles différentes et imbriqués. Chaque symbole ainsi obtenu désignait un groupe particulier.
La croix simple symbolisait le supplice de la crucifixion.
La croix double symbolise le supplice de l’initiation spirituelle traumatique.
Nous lisons donc l’image fournie par la Providence ainsi:
La rage au coeur de Jean-Paulin pour parer l’ordre de la double croix.
Se laisser envahir par la haine, c’est nourrir le malin.
Le Pardon, c’est s’élever vers le Créateur.
4.158 mais Allah l’a élevé vers Lui.
Et Allah est Puissant et Sage.4.159 Il n’y aura personne, parmi les gens du Livre, qui n’aura pas foi en lui avant sa mort.
Et au Jour de la Résurrection, il sera témoin contre eux.
Notes:
Personnel:
https://www.stephanpain.com/2014/10/06/la-condamnation-de-jeanne-darc/
Comprendre le mécanisme du traumatisme initiatique dans la foi monothéiste:
https://www.stephanpain.com/2020/01/26/loutil-gm/
Etablir des analogies à travers le temps:
https://www.stephanpain.com/2016/09/21/et-quand-la-parole-tombera-sur-eux/
https://www.stephanpain.com/2016/03/20/sur-les-pas-delisee/
Les différentes rééditions du livre de Jean Paulin que l’on peut trouver en ligne ne comportent plus la fameuse croix en couverture. Il semblerait qu’il s’agissait là d’une volonté personnelle de l’auteur pour l’édition originale de 1948. Pour se convaincre de son attachement à cette croix, il suffit de se référer à la série d’une dizaine de récits d’aventures militaires qu’il publia entre 62 et 65 et dont le héros se nommait capitaine Lorraine.
Jean-Paul 1: il ne règne que 33 jours. Il est mort dans des circonstances étranges. Son nom de fonction est composé, ce qui est une innovation. Personne n’avait choisi un nom original depuis 1000 ans.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Ier