Vous êtes désormais parmi les jurés et vous ne pouvez pas sortir de la salle.
Je vais vous expliquer le concept de l’apocalypse et pourquoi Allah est réellement un seigneur quenellier.
En réalité, en pénétrant dans l’espace de cette page, vous avez été pris en otage. En otage intellectuel.
Ceux qui connaissent ma vie avant le 26 Novembre 2011, savent à quel point je suis un homme épris de liberté et de justice, et à quel point j’ai été jusque dans les derniers instants de cette vie d’avant un farouche opposant aux religions.
De me lire, un doute s’est installé dans votre esprit. Je n’ai pas d’autre but.
Ai-je la Vérité dans mes textes? Ai-je tout compris? En si peu de temps est ce seulement possible? Au fond peu importe.
Eh bien non, je ne prétends pas détenir la Vérité, il ne sert à rien de contre argumenter mes affirmations.
Mais le doute subsiste, ce doute fait écho à vos propres doutes. En réalité, ce sont vos propres doutes qui ont le réel pouvoir de vous faire changer, pas les miens.
Comme je le disais dans un texte assez ancien maintenant, que peut-être par chance dix d’entre vous ont daigné lire, j’énonçais la fonction de messie. Un messie est avant tout un témoin, un témoin de son époque. Sa seule tâche est de répandre la Vérité, rien de plus. Moïse fut un témoin, il fut contraint de s’enfuir d’Egypte. Son message a traversé les siècles mais l’impact sur le pays visé s’est estompé très vite face à la fureur de la répression.
Ensuite est venu Jésus. Il s’est adapté au public de son époque, de part ses actions, et d’autre part il dut s’exprimer en de nombreuses paraboles pour adresser un message vers les populations futures. Il fut à ce point témoin de la barbarie de son époque, qu’il en est mort. Voilà tout ce que les hommes avaient à offrir à la Vérité: une fin atroce.
Nous voilà 2000 ans plus tard. Le monde a changé.
De part ma vie de parisien lambda, j’ai vécu de l’intérieur toutes les turpitudes que la société dite “civilisée” a engendrées.
Je peux témoigner des heures et des heures de toutes ces choses que j’ai vécues. En écrivant non stop, jusqu’en mars, peut-être y arriverai-je à bout.
Ce n’est pas un hasard si la France est le plus gros consommateur de médicaments au monde. La population est totalement déconnectée de la réalité. Ici, la plupart des gens vivent sur les rentes des colonisations passées et présentes.
Ici, le mot amour n’est qu’un mot. Un mot pour exprimer que les gens aiment bien ceux qui leur ressemblent. Attention, cette phrase ne s’applique pas qu’aux blancs catholiques. Ce serait un peu trop facile, Non, cela concerne chacun d’entre nous, quelque soit son origine, ses convictions, son niveau social.
Si être français c’est être porteur de l’idée de liberté, c’est aussi, hélas, appartenir à un clan. Nous sommes une société de clans. Quel que soit le domaine dans lequel nous nous situons, nous avons toujours à choisir le groupe dans lequel nous allons évoluer. Ceux qui refusent cette manière d’être et qui papillonnent de clans en clans sont en général très mal vus.
Choisis ton camp camarade!
C’est aussi parce que je n’ai jamais voulu choisir mon camp que j’ai toujours été en marge, et c’est aussi grâce à cette façon de penser que j’ai pu expérimenter autant de vies différentes.
Je peux donc témoigner. Je ne peux faire que ça, je ne suis pas un réel activiste.
Je ne demanderai jamais à prendre la parole devant la foule, je ne ferai jamais aucune publicité. Je ne forcerai jamais le destin. Je refuse de prendre à moi tout seul le poids de ce message et sa diffusion et de me battre constamment contre des gens qui n’ont que de la haine à offrir.
Mais si je ne désire rien faire, que va t’il se passer?
C’est simple, cela tient à vous, ceux qui sont actuellement pris en otage. Maintenant vous savez, vous n’avez plus le privilège de l’innocence.
Vous êtes face à votre conscience.
De deux choses l’une, soit vous pensez que je suis un menteur, un fou, un opportuniste, et à ce moment là, vous refermez facebook et vous reprenez votre vie habituelle, comme si de rien n’était.
Soit, vous avez un doute raisonnable, et sachant que je ne ferai rien pour changer les choses, vous comprenez que c’est à vous d’agir et à personne d’autre. Que si vous ne faites rien, vous aurez à en subir les conséquences psychologiques. Si le monde sombrait dans la guerre, au fond de vous, vous vous diriez qu’avant que tout commence, vous avez les clefs pour enrayer tout cela et que vous n’avez rien fait. Et que lorsque l’un de vos amis ignorant de tout cela, vous annoncera tout le malheur qui l’accable, vous n’aurez d’autre choix que de vous taire et d’être rongé par le remord.
Vous trouvez ça dégueulasse?
Moi non.
A force de vouloir suivre les gens qui vous disent là où vous allez et ce que vous devez faire, vous avez sombré dans la vraie paresse. Vous vous contentez de gueuler. Ca pour gueuler vous êtes forts!
Vous attendez un messie qui va tout régler pour vous et d’un seul coup tout le malheur du monde va partir comme par magie.
Mais vous prenez ”Dieu” pour un .on ou quoi?
Excusez-moi le terme mais il me paraît totalement approprié.
Vous ne croyez pas aux miracles mais vous en attendez un?
Nan, désolé, je ne marche pas.
Vous pouvez me hurler dessus tant que vous voulez, cela ne changera rien.
Nous sommes tous responsables collectivement et c’est à nous collectivement de résoudre les choses. Pas à un groupe de psychopathes qui assouvissent leurs problèmes psychologiques au grand jour.
Et je ne me cacherai pas, au contraire.
Je sais qu’il y a des gens qui sont chargés de me surveiller et de faire des rapports. Soyez professionnels et faites votre travail jusqu’au bout, lisez moi entièrement. Si si, j’insiste.
D’ailleurs, il doit sûrement se passer des choses bizarres dans vos vies actuellement.
Plein d’événements vous déstabilisent. Je sais que vous ne faites plus trop les malins.
Vous la sentez la pression? Elle ne vient pas de moi, je n’ai pas ce pouvoir.
Oh, vous pouvez vous attaquer à ma personne, vous avez mille moyens de me décrédibiliser, de me nuire. Mais vous savez au fond que cela ne sert à rien.
Et puis le doute se répand parmi la population, comme une traînée de poudre.
Même si je cessais de parler, même si j’étais totalement décrédibilisé, vous ne pourriez stopper ce doute.
Il y a 3200 ans, le fils de .amses II a dû mener les pires persécutions pour cesser d’entendre ces doutes parmi la population.
Si vous voulez, maintenant, faire cesser ces doutes, il va falloir mener une guerre massive.
Est ce pour cela que vous oeuvrez? Je vous laisse face à votre conscience.
Vous avez un sale goût dans la bouche? C’est normal, c’est le pus qui sort.